Marc Vincent nommé Directeur conseil technique

Des projets plein la tête et le début d’une belle aventure.

Bienvenue chez Daveo, Marc !

Quel est ton parcours ?
J’ai démarré en 2003 chez un éditeur de logiciel comme développeur Web. Par la suite, j’ai évolué vers un poste de directeur des projets. Puis en 2012, j’ai choisi d’être consultant freelance. J’ai alors travaillé principalement pour de grands comptes sur des sujets de transformation de DSI (coaching devOps, craft, agile).

Qu’est-ce qui t’a donné envie de rejoindre l’aventure Daveo ?
Le challenge ! Le fait d’aider une entreprise à se transformer, à monter en compétences sur les offres de conseil premium. J’ai le sentiment d’avoir une liberté pour le faire, pouvoir essayer, proposer.
Un point important est que nous sommes dans une entreprise à taille humaine : tout n’est pas formaté ou processé à l’avance ! J’aurai plus d’espace pour proposer et faire évoluer les choses, et cet aspect de liberté m’intéresse.

Quelles sont tes principales missions ?
Mes principales missions sont de faire monter les consultants en maturité sur les bonnes pratiques et la qualité du conseil que l’on prodigue à nos clients. Il s’agit aussi de fédérer les communautés de pratiques via des événements, que nous allons co-construire. Une première partie de mon travail consistera à nouer des partenariats IT avec des éditeurs de logiciel, des cloud providers… La seconde sera de fédérer les collaborateurs autour de différentes rédactions, comme des livres blancs, qui participent au rayonnement de l’entreprise.

Quel sera ton premier projet ? Quelle est ta vision ?
À très court terme, j’aimerais créer des événements ou l’on échangerait autour de sujets tech, sous forme de visio dans un premier temps, au vu du contexte actuel.
J’aimerais apprendre à connaître les collaborateurs au travers de ces actions et permettre à chacun de partager ses expériences. Mon objectif est que ce type d’événements s’intègre progressivement dans la culture de l’entreprise, que ce soit des rendez-vous récurrents. Peu importe le format, l’important est de renforcer cette culture du partage et de l’échange afin de progresser collectivement et en continu.
En agilité, on parle d’amélioration continue (“kaizen”). Il est important de l’appliquer à soi-même pour s’épanouir dans son travail en maîtrisant ce que l’on fait.

Quelles sont tes convictions sur la qualité logiciel ? Le craftsmanship ?
Le software craftsmanship, c’est l’amour du travail bien fait. On parle d’artisanat, car il faut avoir pour objectif non pas de répondre basiquement à un besoin client, mais de construire quelque chose de pérenne dans le temps.
La vraie problématique à laquelle nous sommes confrontés lorsque l’on développe un logiciel, c’est de l’implémenter dans les règles de l’art. Sinon, c’est difficilement maintenable pour le client. Il est donc nécessaire de maîtriser la dette technique pour mieux gérer les coûts et les délais de livraison.
Il faut aimer partager cette passion pour le code, être amoureux du travail bien fait et transmettre ces notions.

Et si tu partageais avec nous une passion ? Un hobby ?
Je suis un épicurien. J’ai une grosse passion… manger ! J’aime les bonnes choses, aller dans de bons restaurants, découvrir de nouvelles gastronomies. J’aime tout type de cuisine à partir du moment où c’est bien préparé et cuisiné.
Un restaurant à conseiller : la brasserie 3B à Boulogne-Billancourt, gérée par le chef étoilé Jean Chauvel.

As-tu autre chose à partager ?  Un mot de la fin ?
Je suis très heureux de faire partie des équipes Daveo. J’ai apprécié l’accueil et l’onboarding ! J’ai eu des contacts avec différents collaborateurs extrêmement sympathiques. J’étais très impatient d’arriver, il y a beaucoup de choses à faire, et je suis ravi de pouvoir commencer à aborder ces sujets très complets.

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S’outiller pour travailler en remote : 5e partie du livre blanc sur l’agilité

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